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Le décès du Pape François le 21 avril 2025 a suscité une vague de réactions à travers le monde, mais également une recrudescence de cyberarnaques exploitant cet événement tragique. À travers des techniques sophistiquées, notamment le SEO poisoning, des cybercriminels se servent de l’émotion collective pour dérober des informations personnelles et financières précieuses. Comment ces escroqueries s’organisent-elles, et quelles mesures peuvent être prises pour se protéger ?
Exploration des armes numériques des cybercriminels
Dans les heures suivant l’annonce du décès du Pape François, une série de campagnes de cyberfraude ont vu le jour sur les réseaux sociaux tels qu’Instagram, TikTok et Facebook. Le stratagème, malheureusement bien éprouvé, consiste à détourner l’attention des internautes par des visuels attirants et des titres choquants, souvent aidés par l’intelligence artificielle. Dès que l’utilisateur curieux clique pour « en savoir plus », il se retrouve piégé sur une fausse page qui tente de le convaincre de révéler ses informations confidentielles ou de participer à des
