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Le bras de fer entre les chauffeurs de taxi et de VTC savoyards et le géant Uber prend une nouvelle tournure avec le dépôt d’une plainte collective pour concurrence déloyale. Cette affaire met en lumière les tensions économiques croissantes entre les acteurs locaux du transport et les plateformes numériques internationales. Face aux défis économiques et professionnels, les chauffeurs savoyards cherchent à faire valoir leurs droits dans un contexte de marché qu’ils jugent irrégulier et injuste.
Le bras de fer judiciaire et les tensions sur le terrain
La plainte déposée par les chauffeurs savoyards contre Uber France vient couronner un long processus de mécontentement. Confrontés à une concurrence perçue comme inéquitable, ces professionnels dénoncent ce qu’ils considèrent être une violation des règles du transport et des pratiques telles que le travail dissimulé. L’Association des Transporteurs Savoyards de Personnes, qui regroupe les plaignants, critique également la passivité des autorités locales face à ces pratiques. Malgré plusieurs infractions constatées par la préfecture de la Savoie, les mesures actuelles sont jugées
