par « `html
Les défis climatiques s’intensifient, exigeant de nous un changement radical de nos modes de vie, notamment dans nos façons de nous déplacer. Alors que les prévisions réaffirment une hausse alarmante des températures en deçà des objectifs de la COP 21, les villes sont en première ligne pour subir les conséquences des phénomènes météorologiques extrêmes. Dans ce contexte, le rôle des transports devient crucial, constituant un vecteur majeur de pollution. Quelle stratégie adopter pour conférer à notre mobilité une empreinte écologique plus légère, tout en répondant aux besoins croissants de la population urbaine ?
La nécessité d’une révision des habitudes de déplacement
À travers le monde, le mode de transport individuel reste dominant, en dépit des problèmes engendrés tels que la congestion, la pollution atmosphérique et une empreinte carbone élevée. En France, par exemple, le secteur des transports contribue à 32 % des émissions totales de CO2, une consommation énergétique qui n’a cessé d’augmenter depuis 1990. Face à cette situation préoccupante, l’urgence de repenser nos déplacements devient évidente
