La robotisation, une solution innovante pour la réconciliation financière
La réconciliation du chiffre d’affaires et des encaissements est devenue une véritable épreuve pour de nombreux départements financiers, face à la complexité croissante des moyens de paiements et à l’émergence de nouvelles méthodes de consommation. Ainsi, la technologie, véritable levier de productivité, semble aujourd’hui pouvoir apporter la solution.
Une complexité grandissante dans les opérations financières
Qu’il s’agisse du chiffre d’affaires réalisé en magasin ou en ligne, les moyens de paiement divers et variés entrainent une multiplication des flux de données à traiter. Cette situation complexifie la réconciliation des transactions et remet en question l’efficacité des outils traditionnels tels que les ERP ou Excel. Ces derniers, bien que certains soient encore utilisés, n’offrent pas une solution durable et optimale face à cette problématique.
Dans un contexte où l’innovation marketing ne cesse de croître, les départements financiers, face à l’accélération des flux « non standards », se retrouvent dans une situation inconfortable. Les processus de lettrage manuel, coûteux en temps, compromettent la qualité du contrôle interne et de la sécurisation du chiffre d’affaires comptable. Ainsi, une solution alternative se fait ressentir.
La robotisation, pour une réconciliation optimisée
Une réponse à ces enjeux pourrait bien se trouver dans la technologie. La robotisation, et plus précisément l’automatisation des processus de data management, apparaît comme une solution prometteuse. Les techniques modernes de réconciliation financière, utilisant des processus robotisés, permettent une extraction et une structuration efficaces des données complexes.
Cette nouvelle approche automatisée, permet aux entreprises et à leurs équipes financières d’éviter un travail manuel fastidieux. Il en découle une économie de milliers d’heures de travail, avec un retour sur investissement souvent en moins d’un an. De plus, l’automatisation réduit considérablement la part des tâches à faible valeur ajoutée dans le processus de réconciliation. Pas seulement une optimisation des processus, elle permet aussi de limiter le turnover dans les services comptables, renforcer le contrôle interne et la conformité fiscale, et libérer des ressources pour accompagner le déploiement de nouvelles actions commerciales.