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Le 24 juin 2025, l’Assemblée nationale française a rejeté la proposition de loi « Gremillet », marquée par un moratoire sur l’éolien et le solaire. Malgré le soutien de certains groupes politiques, le texte n’a pas convaincu la majorité parlementaire, illustrant l’importance continue des énergies renouvelables dans la stratégie énergétique nationale. Ce vote met en lumière l’enjeu de concilier relance nucléaire et développement durable.
Des enjeux cruciaux pour les énergies renouvelables
La tentative d’imposer un moratoire sur l’éolien et le solaire en France a suscité une vive réaction parmi les acteurs des énergies renouvelables. Le Syndicat des énergies renouvelables (SER), en compagnie de spécialistes comme Enerplan, ont souligné le risque économique associé à une telle mesure. Selon les évaluations, jusqu’à 80 000 emplois étaient menacés, une perspective que déplore notamment Jules Nyssen, Président du SER.
Un moratoire aurait également pu compromettre la crédibilité et la stabilité du cadre réglementaire français, essentiel pour attirer les investisseurs. L’Union française de
