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Introduites progressivement depuis 2018, les voitures radars continuent de faire débat en France. Avec une extension prévue en 2025 vers des régions telles que l’Occitanie, la Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’Auvergne-Rhône-Alpes, ces appareils de surveillance de la vitesse pérennisent un dispositif controversé. Le ministère de l’Intérieur justifie cette initiative par le besoin d’accroître la sécurité routière dans les zones particulièrement sensibles. Cet article décrypte l’historique, le fonctionnement et les conséquences de ces véhicules sur le réseau routier français.
Le déploiement des voitures radars : une évolution significative depuis 2018
Depuis leur introduction, les voitures radars ont connu un changement majeur. Initialement gérées par les forces de l’ordre, ces véhicules banalisés ont commencé à être exploités par des sociétés privées dès 2018. Équipés de radars mobiles infrarouges, ils sont capables de détecter les excès de vitesse à toute heure. En janvier 2025, la France dénombre environ 110 véhicules de ce type, dont