Toyota, le géant de l’automobile, fournit une flotte impressionnante de véhicules écologiques pour les Jeux olympiques de 2024. Avec un total de 2 674 véhicules de différents types, dont des voitures électriques, hybrides, hybrides rechargeables et à hydrogène, l’entreprise vise à répondre aux besoins de déplacements de l’événement. Toutefois, l’initiative de Toyota a également soulevé certaines controverses.
La flotte Toyota aux JO 2024 : des couleurs particulières pour chaque type de motorisation
Toyota a révélé que sa flotte de véhicules sera composée de plusieurs de ses modèles phares, dont les célèbres SUV électriques bZ4X et Lexus RZ, ainsi que la berline à hydrogène Mirai. L’entreprise espère ainsi couvrir plus de la moitié (60%) des besoins de mobilité des JO et des Jeux paralympiques.
Pour différencier les diverses motorisations de ses véhicules, Toyota a choisi un code couleur spécifique. Selon l’entreprise, le bleu symbolisant l’eau sera utilisé pour les véhicules à hydrogène, le vert (représentant la nature) pour les véhicules électriques et le violet pour les véhicules hybrides et hybrides rechargeables.
Controverses autour de la flotte de Toyota pour les JO 2024
Malgré le couvert écologique de cette initiative, certaines critiques ont été soulevées. À commencer par des préoccupations concernant l’utilisation de voitures à hydrogène, notamment le modèle Toyota Mirai. D’autres s’inquiètent du manque d’infrastructure de recharge pour les véhicules électriques.
Pour couronner le tout, certaines accusations vont jusqu’à prétendre que Toyota utilise les Jeux olympiques comme une opportunité pour mener des opérations de greenwashing. Cependant, quels que soient les débats, une chose est sûre : ces Jeux olympiques seront marqués par l’effort de l’industrie automobile pour allier performance sportive et responsabilité environnementale.