27 juillet 2024

Prix en rayon : les huiles, les céréales et la volaille devraient baisser

* [Facebook](#)
* [Twitter](#)
* [LinkedIn](#)
* [WhatsApp](#)
* [Telegram](#)
* [Plus](#)

Comme chaque année, la période des négociations commerciales avec la grande distribution bat son plein. Richard Panquiault, à la tête de l’Institut des liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), une fédération regroupant [plusieurs grandes marques de consommation](https://www.ilec.asso.fr/adherents/), donne un aperçu des futures fluctuations de prix. Certains produits connaîtront une baisse, mais la majorité semble se diriger vers une [hausse sensible](https://www.economiematin.fr/prix-leclerc-alimentation-gouvernement).

Les domaines de la volaille, des céréales, des huiles et potentiellement de l’alimentation animale sont susceptibles de voir leurs tarifs diminuer. Néanmoins, il est encore trop tôt pour affirmer que ces réductions se répercuteront sur les prix pratiqués en magasin. En effet, les distributeurs sont les seuls maîtres du dernier prix consommateur. Par ailleurs, un projet législatif visant à limiter les promotions sur les produits détergents pourrait conduire à une baisse des prix à partir de mars 2024, illustrant la complexité du processus de fixation des prix.

Est-ce que l’inflation et les changements climatiques conduisent à une augmentation des prix ?

L’inflation, loin d’être révolue, reste une réalité économique préoccupante, exacerbée par les conséquences du changement climatique sur la production agricole. Selon Richard Panquiault, des produits de base tels que les oranges ou l’huile pourraient subir une hausse de prix à cause de ces phénomènes. Cette situation souligne les défis que doivent relever les producteurs et distributeurs, dans un climat de négociations commerciales houleuses.

Négociations commerciales : Quel est le constat final ?

À l’aube de la clôture des négociations, le paysage contractuel paraît morcelé ; un tiers des accords officiellement conclus, un autre sur le point de l’être, et le dernier reste dans l’incertitude. Richard Panquiault dénonce également certaines centrales d’achat étrangères qui semblent faire fi du droit français, malgré les injonctions gouvernementales et judiciaires.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *