par Le CAC 40 atteint de nouveaux sommets à la Bourse de Paris
Le remarquable succès du CAC 40 à la Bourse de Paris est une histoire qui continue de se dérouler. D’après un rapport récemment publié par le journal Les Echos, l’indice a de nouveau passé la barre des 140 milliards d’euros de bénéfices en 2023. Certes, ce n’est pas un record, mais la performance est loin d’être négligeable.
Il est intéressant de noter que le chemin vers cette réussite a été pavé par les performances boursières exceptionnelles de ses membres, qui ont permis au CAC 40 d’atteindre le niveau record de 8.000 points le 7 mars 2024. Cette progression s’est maintenue, l’indice clôturant à 8.016 points, soit une hausse de 6,44% depuis le début de l’année 2024.
Les milliards pleuvent sur le CAC 40
Entre 2021 et 2023, le CAC 40 a accumulé pas moins de 444 milliards d’euros de bénéfices nets. Chaque année a enregistré des bénéfices impressionnants : 156 milliards en 2021 – record absolu en raison d’un effet de rattrapage post-Covid, 143 milliards en 2022, et finalement 145 milliards en 2023.
Ce succès retentissant estisé par quatre entreprises majeures: TotalEnergies, Stellantis, LVMH et BNP Paribas, avec des résultats nets respectifs de 19,4, 18,6, 15,2 et 11 milliards d’euros. Ces quatre sociétés seules ont généré 64,2 milliards d’euros de bénéfices, un montant considérable si l’on considère qu’il est deux fois supérieur aux économies recherchées par le gouvernement pour 2024 – 2025, soit 10 milliards d’euros en 2024 et 20 milliards en 2025.
Une renommée mondiale pour un PDG grâce au CAC40
La performance du CAC 40 a également des implications importantes à un niveau plus personnel. Ainsi, Bernard Arnault, PDG de LVMH, est redevenu le 8 mars 2024 l’homme le plus riche du monde. Sa fortune est estimée à 200 milliards de dollars, soit une augmentation de 20,5 milliards de dollars depuis le début de 2024, selon Bloomberg.
Il est clair que ces résultats impressionnants du CAC 40 en 2023 ont une importance considérable non seulement pour les entreprises elles-mêmes, mais aussi pour l’économie globale. C’est un indicateur que les principales entreprises françaises sont toujours une force avec laquelle il faut compter sur le marché mondial.
